AGENCE SITE E-COMMERCE

Lançons votre site e-commerce en un temps record.

Depuis 2019, Yield Studio conçoit des sites e-commerce robustes, évolutifs et ultra-rapides. Que ce soit pour du B2C ou du B2B, nous créons des expériences d’achat qui transforment réellement.

Garantie

Créons ensemble un e-commerce B2B ou B2C ultra-efficace

Depuis 2019, Yield Studio accompagne les marques, industriels et distributeurs dans la création de sites e-commerce robustes, rapides et parfaitement intégrés à leur système d’information. Du tunnel B2B complexe au site grand public, on livre des expériences d’achat qui performent.

Discutons de votre e-commerce dès maintenant
Confiance

Une approche e-commerce orientée business

Votre site e-commerce est une vitrine, mais surtout un outil de vente et d’opération. Que vous vendiez à des particuliers ou à des professionnels, notre objectif est de maximiser la conversion, la satisfaction client, et la fluidité de vos opérations internes.

Là où certaines agences empilent des plug-ins, chez Yield Studio on conçoit des plateformes solides, sur-mesure, parfaitement interfacées avec vos outils internes (ERP, CRM, PIM, OMS...).

Plus de 40 sites

e-commerce créées et refondus sur lesquels nos équipes sont intervenues

Déjà 6 ans

que Yield Studio est un leader dans l’univers des agences e-commerce

Plus de 900k

commandes cumulées sur tous les sites que nous avons développé pour nos clients

Plus d'1 million

de paniers sont faits chaque jour sur les sites e-commerce de nos clients.

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Focus utilisateur

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Time To Market

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Création de site e-commerce sur-mesure

Que vous lanciez une DNVB ou une boutique B2B connectée à un ERP, nous développons des sites adaptés à votre stratégie, votre cible, et votre organisation interne.

Découvrir
Compétence n°2

Refonte d’une boutique en ligne

Refondre, c’est bien plus qu’un relooking. On repense l’expérience client, on améliore la performance, on fiabilise les flux, et on booste la conversion.

Découvrir
Compétence n°3

Marketplace et extranet B2B

Vous souhaitez permettre à vos revendeurs ou partenaires de passer commande via une interface dédiée ? On construit des tunnels personnalisés avec les bonnes règles de gestion.

Découvrir
Cas Clients

Découvrez nos réalisations clients

No items found.
Fonctionnalités

Focus sur-mesure

Nous développons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de nos clients. Voici quelques exemples :

Intégration ERP / CRM / PIM / WMS / OMS
Gestion des règles tarifaires complexes (remises, paliers, devis personnalisés)
Paiement en ligne, paiement à terme, virement, mandat SEPA, etc.
Tunnel de commande optimisé (mobile, accessibilité, performance)
SEO technique avancé (Next.js, SSR, balises enrichies)
Tableau de bord personnalisé pour suivre les ventes et les clients
Tom GONZATO-MÉLIET
Gérant
Il est vrai que pour nous c'était un projet totalement nouveau, nous avons été à l'aveugle et nous avons réussi à créer du concret sur nos imaginations. Notre grande problématique était de mettre en forme nos nombreuses idées et votre équipe à réussi a la résoudre. Nous sommes en train de développer notre entreprise vers une autre voie plus moderne et inattendue pour nos consommateurs.
Technologies

Nos technologies e-commerce

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Fonctionnement

Une approche en 5 phases

ETAPE 1

Immersion & cadrage business

Nous menons des ateliers avec vos équipes (marketing, vente, logistique, DSI) pour comprendre les parcours d’achat, les contraintes internes, les flux SI et les cibles.

1 à 3 jours
ETAPE 2

Conception & Prototypage

Nous concevons les parcours critiques (navigation, fiche produit, panier, tunnel de commande) et les testons rapidement avec les utilisateurs finaux pour garantir l’adoption.

1 à 3 semaines
ETAPE 3

Développement agile

Développement en sprints courts, avec mise en production continue (feature flags, staging) et intégration des flux ERP dès le départ pour valider les cas réels.

6 à 12 semaines
ETAPE 4

Tests & améliorations

Tests UX, fonctionnels, techniques (SEO, performance, accessibilité), automatisés et manuels. Formation de vos équipes. Migration des données si besoin.

1 à 3 jours
ETAPE 5

Amélioration continue & CRO

Suivi des performances via analytics et outils de replay. Amélioration du taux de conversion, A/B testing, SEO évolutif, nouvelles features.

Vidéo

Découvrez le mot de notre co-fondateur

Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio.  Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business

+150

Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

9,8/10

de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.

Expertises

Développement web & mobile

Product Management

Data & IA

Yield Studio logo blanc

Découvrez Cyrille ADAM
Co-fondateur & CPO

Blog

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Comment Yield Studio structure un projet d'application web pour livrer un vrai produit utile
Ce que vous allez lire ici, c’est notre méthode en 8 étapes (et même 9 si vous lancez un produit early-stage), conçue pour transformer un besoin en produit digital utile, monétisable et durable.
Cyrille
23/5/2025

Specs qui s’empilent. MVP retardé. Users fantômes. On voit souvent des projets digitaux démarrer fort… puis caler en plein vol. L’intention est bonne. Mais sans méthode, un produit SaaS ou une plateforme métier peut vite devenir un chantier sans cap.

Chez Yield Studio, on ne parle pas de “recette magique”. On parle de cadre robuste, éprouvé sur des dizaines de projets - des portails B2B aux SaaS scalables.

👉 Notre approche s’inspire du Lean Product Development : partir d’un vrai problème, livrer petit, mesurer, ajuster - sans jamais perdre l’utilisateur final de vue.

Ce que vous allez lire ici, c’est notre méthode en 8 étapes (et même 9 si vous lancez un produit early-stage), conçue pour transformer un besoin en produit digital utile, monétisable et durable.

0 - Clarifier l’opportunité produit (avant même de parler de dev)

Vous êtes en train de lancer un nouveau produit digital - SaaS B2B, plateforme sectorielle, portail transactionnel. Vous avez une intuition forte, un marché identifié, une équipe réduite… mais pas encore de clarté produit.

👉 Avant même de passer en mode projet, il faut tester le terrain. C’est ce qu’on appelle la Product Discovery.

Pas besoin d’une usine à idées. Juste de quoi valider que :

  • votre cible a un vrai problème (observé, pas imaginé) ;
  • votre solution propose une réponse simple, concrète, testable ;
  • vous pouvez embarquer des early users dès la première version.

💡 Si vous êtes à ce stade, c’est possible de partir avec nous sur une phase courte, ciblée, pour valider le produit avant d’engager du développement.

1. Comprendre le vrai problème à résoudre

La tentation est forte de commencer un projet avec une liste de features. Mais une feature list n’est ni une vision produit, ni une stratégie. Encore moins une réponse utile à un vrai problème.

Chez Yield, on commence autrement : par le terrain - mais pas forcément un open space ou une réunion de cadrage. Le terrain, c’est aussi ce que vos utilisateurs essaient déjà de faire, avec ou sans vous.

Retour d’XP :

“Sur le projet Mémo de Vie, on ne partait pas d’un brief fonctionnel mais d’un constat terrain : des victimes de violences n’avaient aucun outil simple et sécurisé pour stocker des preuves au fil du temps.

L’équipe a mené des entretiens avec des associations, des psychologues, des juristes, pour comprendre ce que "garder une preuve" voulait vraiment dire au quotidien.

Résultat : pas de demande de “drive sécurisé” ou de “messagerie chiffrée”. Mais un besoin clair : “Quand je vis un événement violent, je veux pouvoir l’enregistrer discrètement et le conserver dans un espace auquel je pourrai accéder plus tard, en sécurité.”

C’est ce type de besoin réel, formulé en situation, qui structure toute la suite. Pas une idée floue. Un usage ancré.

Pour structurer les besoins et éviter les biais, on s’appuie sur le cadre des Jobs To Be Done : “Quand je fais [situation], je veux [objectif] pour [bénéfice attendu]”.

L’objectif de cette phase : construire un produit qui résout un problème qui compte - pas juste cocher une checklist de features.

2. Cadrer avec une vision produit claire

Une fois le vrai problème identifié, l’erreur serait de foncer sur la solution. Ce qu’on pose ensuite, c’est une vision produit. Pas une “liste de fonctionnalités à développer”.

Retour d’XP :

“Après avoir cartographié les parcours et défini les Jobs To Be Done sur TKcare, on a pu formuler une vraie proposition de valeur : fluidifier la relation RH / intérimaire, avec un espace unique et sécurisé.

Cette vision, on l’a formalisée dans un Lean Canvas, avec la cible, la promesse, la North Star Metric (‘missions validées sans friction’)… et elle a guidé tous les arbitrages par la suite.

On ne développait pas des ‘features RH’. On construisait un produit qui allait simplifier la vie de deux utilisateurs très différents - et ça change tout.”

Tout ça tient dans un document de cadrage qu’on appelle boussole produit. C’est le guide de chaque décision produit tout au long du projet.

Pourquoi c’est essentiel ? Sans vision claire, les specs dérivent. Chaque demande semble urgente. Et le backlog devient une to-do list sans cap.

Avec une boussole solide, on sait dire non. On priorise. On découpe. On livre ce qui a vraiment un impact.

3. Prioriser par la valeur, pas par l’intuition

Un backlog ne vaut rien s’il n’est pas trié. Et dans beaucoup de projets, ce tri est fait… à l’intuition. Ou à la pression hiérarchique.

Chez Yield, on remplace l’arbitraire par une méthode : la priorisation par la valeur.

Avec le client, on co-construit une matrice valeur / effort. Chaque feature est scorée sur 4 critères :

  • Reach : combien d’utilisateurs concernés ?
  • Impact : à quel point ça change leur quotidien ?
  • Confidence : à quel point on est sûrs de l’impact ?
  • Effort : temps, complexité, dépendances techniques.

👉 On en détaille l’application dans notre article sur la construction d’une roadmap utile.

Ce scoring est particulièrement utile dans les contextes SaaS : faut-il investir dans un module de paiement multidevise ? Déployer un plan freemium ? Proposer du multi-tenant dès la V1 ?

Une bonne priorisation, c’est aussi refuser les fausses bonnes idées. Ce qui est simple à faire, mais inutile. Ce qui est demandé fort, mais utilisé par 2 personnes.

On ne livre pas ce qu’on peut coder vite. On livre ce qui fait progresser le produit.

4. Découper en fonctionnalités testables (et livrer une V1 utile)

Chez Yield, on ne cherche pas à “tout livrer d’un coup”. On vise une V1 utile, testable, axée sur un parcours prioritaire qui permet déjà de générer de la valeur - ou de valider une hypothèse business.

C’est la logique du slicing vertical : livrer un petit nombre de fonctionnalités… mais utilisables de bout en bout, par des utilisateurs réels.

Exemple :
Sur un SaaS B2B d’automatisation comptable, la V1 livrée en 6 semaines comprenait :

  1. l’import manuel d’une facture ;
  2. la génération automatique d’une écriture ;
  3. et son export au format comptable.

Pas de SSO. Pas de dashboards personnalisés. Pas d’intégration bancaire.
Mais un vrai flux testable, utilisé par 4 clients pilotes - et validé dès la 2e semaine.

👉 On livre un produit exploitable, qui permet de récolter du feedback immédiatement, d’identifier les vraies frictions, et de prioriser la suite sur du concret.

Le slicing vertical, c’est ça : livrer moins, mais livrer juste. Pour tester, ajuster, avancer.

Chez Yield, livrer vite un MVP testable n’est pas un exploit. C’est notre mode opératoire. 

Quelques exemples de MVP livrables en 6-8 semaines :

 

  • Portail logistique B2B : création de commande, suivi de statut, tableau de bord client — MVP réaliste livrable en 6–7 semaines selon nos standards.
  • SaaS de gestion d’abonnements : onboarding client, configuration de plan tarifaire, génération automatique de facture - MVP livrable en 6–8 semaines avec la bonne stack et un périmètre bien découpé.
  • Plateforme de formation : création de compte, accès à une première capsule de contenu, score utilisateur - MVP testable dès la semaine 2, livrable en 6 semaines.

👉 Dans tous les cas, la logique est la même : slicing vertical, parcours testable complet, feedback utilisateur dès la semaine 2.

5. Impliquer les utilisateurs dès le jour 1

Un bon produit ne se conçoit pas “pour” les utilisateurs. Il se construit avec eux.

Dès les premières semaines, on implique des utilisateurs réels dans les itérations. Pas pour faire joli. Pour valider ou invalider les choix faits.

Sur le projet de SaaS comptable, les premiers clients pilotes ont été sollicités :

  • pendant la phase de discovery, pour expliciter leurs irritants récurrents ;
  • dès la V1, pour tester le flux import → écriture → export ;
  • et toutes les 2 semaines ensuite, via des démos ciblées.

Ce qu’on observe dans ces phases ? Des comportements inattendus. Des micro-frictions invisibles dans les specs. Des besoins critiques qui n’avaient jamais été formulés.

Chez Yield, une feature n’est jamais “terminée” tant qu’elle n’est pas testée en conditions réelles, comprise et utilisée sans friction, et adoptée par les vrais utilisateurs.

C’est ce feedback, itératif et immédiat, qui transforme une V1 fonctionnelle… en produit digital durable.

6. Livrer sans stress grâce à une mise en prod progressive

Mettre une app en ligne ne devrait jamais être un moment de panique. Chez Yield, c’est une routine. Parce que tout est pensé pour déployer souvent, proprement, sans surprise.

Sur le SaaS d’automatisation comptable, les premières versions ont été déployées avec :

  • des feature flags : certaines fonctionnalités visibles uniquement pour les testeurs early access ;
  • des canary releases : déploiement par lots de clients pour observer les comportements sans tout casser ;
  • un pipeline CI/CD versionné, testé, monitoré.

👉 Ces techniques, on ne les utilise pas “quand on a le temps”. On les installe dès le premier sprint. Elles permettent de livrer vite, sans prise de risque, d’activer ou désactiver une feature à chaud, et de détecter un bug critique en 2 minutes - pas en 2 jours.

Résultat : une mise en prod n’est plus un “moment critique”. C’est juste une étape naturelle du cycle produit.

7. Travailler en co-pilotage produit / tech / design

Un produit SaaS ne peut pas être “commandé” par le métier, “designé” à part, puis “développé” en bout de chaîne. Ce schéma en cascade crée des incompréhensions, des tensions, et des mauvais arbitrages.

Chez Yield, on structure chaque projet autour d’un trio décisionnel stable dès le départ :

  1. Product Manager pour fixer le cap, prioriser, challenger les demandes ;
  2. Lead Developer pour anticiper la dette, sécuriser la stack, organiser le delivery ;
  3. UX/UI Designer pour garantir l’ergonomie, la fluidité des parcours, l’adoption.

👉 Ces trois-là travaillent ensemble, tout le temps. Pas en séquence. Pas en silos.

Ce mode de collaboration réduit drastiquement les “mauvaises surprises”. Pas de design impossible à dev. Pas de dev hors sujet. Pas de feature inutilisable côté utilisateur.

Résultat : des décisions prises au bon moment, par les bonnes personnes, et des fonctionnalités qui avancent… sans ping-pong interminable.

8. Installer une culture d’amélioration continue (et itérer vite sur la V1)

La mise en production, ce n’est pas la fin. C’est le début du vrai travail. Un bon produit SaaS ne se fige pas après la V1 — il évolue en permanence, guidé par l’usage réel.

Chez Yield, on installe une culture d’itération continue dès les premiers jours de prod. Concrètement, ça veut dire :

  • Monitoring technique actif dès le jour 1 : crashs, lenteurs, erreurs serveur, performances par device ;
  • Analyse d’usage en continu : taux d’activation, features ignorées, parcours abandonnés ;
  • Feedback terrain en boucle courte : support utilisateur, entretiens flash, friction réelle remontée vite.

Et surtout : on suit les KPIs définis dès le cadrage - qu’il s’agisse de taux de rétention, de fréquence d’usage, ou d’activation d’une fonctionnalité clé.

Toutes les 4 à 6 semaines, on mène une rétrospective produit : ce qui fonctionne vraiment (pas juste “ce qui est codé”) / ce qui doit être corrigé ou supprimé / ce qui mérite d’être accéléré.

Exemple terrain :

  • Semaine 1-4 : MVP livré (création de commande + validation)
  • Semaine 5 : friction remontée sur la validation
  • Semaine 6-7 : amélioration design + technique
  • Semaine 8 : ajout d’une fonctionnalité clé (export, reporting…)

👉 Ce rythme-là, c’est ce qui transforme un MVP fonctionnel en produit SaaS robuste, monétisable et utilisé.

Conclusion - Pas une méthode de plus. Celle qui fait grandir votre produit.

Un projet de développement web ne devrait pas être une course à la livraison. Ce qui compte, ce n’est pas ce qui est en ligne à la fin du sprint 8. C’est ce qui est utilisé à la semaine 12. Ce qui évolue à la semaine 20. Ce qui génère de la valeur à la semaine 40.

Chez Yield, on ne vend pas une “recette agile”. On structure un cadre robuste, outillé, itératif - pour faire émerger un vrai produit digital. Utilisable, utilisé, évolutif.

  • On part du terrain, pas du fantasme de la roadmap.
  • On découpe par valeur, pas par complexité.
  •  On livre une V1 vite, mais utile.
  • On itère sur de l’usage réel, pas sur des post-its.
  • On pense produit SaaS, pas MVP jetable.

Et surtout : on reste là après la mise en prod. Pour suivre, corriger, renforcer, faire croître.

Vous ne cherchez pas une prestation. Vous cherchez un produit qui tient. Pas une app figée. Un actif digital qui vit.

C’est exactement ce que permet notre cadre en 8 étapes. Et c’est ce qu’on fait - de la première interview utilisateur au suivi de la V3.

Agence développement web : quelles différences avec une agence web classique ?
Il illustre ce qui arrive quand on confond une agence de développement web avec une “agence web” tout-venant – et c’est exactement le sujet du jour : quelles différences entre les deux, et comment éviter de reproduire ce fiasco ?
Cyrille
23/5/2025

Le projet avait pourtant bien démarré. Un brief propre. Un budget validé. Une “agence web” recommandée par le marketing. 

Trois mois plus tard ? Une maquette léchée… mais aucun MVP testable. Pas d’authentification SSO. Zéro intégration au SI. Et une équipe métier qui commence à douter sérieusement de la suite.

Que vous soyez responsable marketing, DSI ou chef de projet digital, ce scénario fait partie des cauchemars que vous redoutez.

Il illustre ce qui arrive quand on confond une agence de développement web avec une “agence web” tout-venant – et c’est exactement le sujet du jour : quelles différences entre les deux, et comment éviter de reproduire ce fiasco ?

L’agence web classique : utile, mais pas adaptée aux projets complexes

Historiquement, l’agence web est née pour répondre à des besoins de communication digitale. Elle conçoit des sites vitrines, des interfaces e-commerce simples, des landing pages optimisées SEO. Son cœur de métier : rendre visible, créer une présence en ligne, valoriser une marque.

Côté techno, ça se traduit par l’usage de CMS clés en main (WordPress, Shopify, Webflow), avec des thèmes customisés, des plug-ins, un peu d’intégration front. Le tout piloté par des profils gestion de projet, design et intégration.

👉 Pour un site vitrine, une campagne produit, un blog performant : c’est efficace.
Mais dès qu’on entre dans un projet plus ambitieux - une plateforme, une app connectée, un outil interne complexe - les limites apparaissent :

  • Pas de cadrage produit. 
  • Pas d’architecture logicielle. 
  • Peu ou pas de logique d’intégration avec des systèmes tiers (ERP, CRM, APIs internes). 
  • Aucune industrialisation du delivery (tests, CI/CD, sécurisation des mises en prod).

Le risque, ce n’est pas une mauvaise exécution. C’est un mauvais cadre de départ, parce que l’agence ne parle pas le même langage que le projet. 

Elle livre une interface, pas un produit. Elle gère un projet, mais ne pilote pas une roadmap.

Ce n’est pas un problème de compétence. C’est une question de posture, de méthode, et de profondeur d’exécution.

L’agence de développement web : une Digital Factory externalisée

Là où l’agence web classique livre un site, l’agence de développement web conçoit un produit digital. Pas une interface figée, mais un système vivant : connecté, itératif, sécurisé, maintenable.

Ce type d’agence intervient quand il ne s’agit plus seulement d’être “présent en ligne”, mais de résoudre un vrai problème métier via la technologie. Créer une plateforme sur-mesure, une application à usage interne, un SaaS B2B, un outil client connecté à votre SI.

👉 Le positionnement change : on quitte la logique de projet isolé pour entrer dans une logique de co-pilotage produit.

Ce que l’agence apporte :

  • Cadrage et Product Discovery avec les équipes métier (UX research, ateliers, spécifications dynamiques)
  • Product Management externalisé : priorisation, roadmap, arbitrage de valeur
  • Architecture logicielle moderne : microservices, cloud-native, Kubernetes, serverless
  • Intégration SI : ERP, CRM, APIs internes, SSO…
  • Méthodologie MVP + slicing vertical : livrer rapidement une version testable
  • Delivery industrialisé : CI/CD, tests automatisés, feature flags, monitoring, MEP progressive

Et surtout : une équipe qui ne se contente pas d’exécuter, mais qui challenge, structure, sécurise. Un partenaire qui a l’habitude de construire des produits dans la durée - et qui a industrialisé ce savoir-faire.

C’est ce que défendent aujourd’hui les meilleurs studios tech et les références du marché : la Digital Factory externalisée.

Les piliers méthodologiques d’une agence de développement web experte

La vraie différence ne se joue pas dans la stack, ni dans la taille de l’équipe. Elle se joue dans la méthode. Dans la capacité à structurer un delivery produit rigoureux, piloté, mesurable.

Voici les piliers qui transforment un projet en produit.

Une vision produit qui aligne tout le monde

Dès le cadrage, l’agence pose un cap. Pas une liste de fonctionnalités, mais une North Star Metric claire, un objectif business assumé, et des utilisateurs bien identifiés.

Tout est structuré autour de ça : les choix techniques, les priorisations, le rythme de delivery.

👉 C’est ce qu’on pose dans la phase de cadrage décrite dans cet article sur la roadmap produit.

Mais une bonne vision produit, ce n’est pas qu’un cap à long terme : c’est aussi un cadre mesurable. On formalise des objectifs clairs et actionnables.

Et pour que la vision tienne dans le temps, encore faut-il qu’elle soit partagée. D’où l’importance d’impliquer les bons interlocuteurs dès le départ.

Une priorisation pilotée par la valeur, pas par l’intuition

Dans les projets mal cadrés, le backlog devient vite un cimetière de features. Tout semble “prioritaire”, personne ne tranche, et l’équipe avance à l’aveugle.

Dans une agence structurée, la priorisation repose sur des critères objectifs :
impact utilisateur, valeur métier, effort réel, risques. On utilise des méthodes comme RICE pour scorer, comparer, arbitrer - en lien direct avec les enjeux du terrain.

👉 C’est ce qu’on pose dès les premiers ateliers de roadmap, où chaque item est challengé, classé, assumé. On vous montre comment organiser cette priorisation dans cet article.

L’objectif : livrer ce qui crée de la valeur, pas juste ce qui est demandé. Et garder une équipe alignée - parce qu’elle sait pourquoi elle livre ce qu’elle livre.

Un MVP découpé intelligemment, testable rapidement

Un bon MVP ne couvre pas “tout”. Il couvre juste assez pour tester la promesse - sur un parcours utilisateur complet, exploitable dès les premières semaines.

C’est là que la méthode change tout. Une agence experte ne découpe pas le périmètre en blocs techniques (auth, back-office, API…), mais en slicing vertical : un enchaînement d’écrans, de règles métier et de traitements qui permettent de valider un vrai usage, dans un vrai contexte.

L’objectif n’est pas de cocher des specs, mais de mettre un produit entre les mains des utilisateurs, et d’observer. Pas dans six mois. Dans six semaines.

Des utilisateurs métiers intégrés dans le cycle

Un bon produit n’est pas “validé” par les métiers à la fin. Il est co-construit avec eux tout au long du projet : entretiens, tests, feedback sur les versions intermédiaires, arbitrages live.

L’agence installe cette collaboration comme un réflexe.

👉 On détaille cette approche dans notre article comment définir les parties prenantes et les besoins utilisateurs

Une vraie culture d’apprentissage post-livraison

Livrer n’est pas l’objectif. Faire évoluer le produit en continu, si. 

Une agence experte installe le suivi des KPIs dès la mise en prod, détecte les usages réels, et sait itérer sans tout casser.

👉 On vous explique comment suivre l’usage réel dans suivre l’adoption d’un logiciel métier.

Agence web vs agence de développement web : le tableau différenciateur

Deux types d’agences. Deux niveaux d’exécution. Deux visions du digital.

Résumons les différences clés - en livrables, en méthode, en capacité d’intégration, en time-to-market. 

👉 Si vous avez un vrai enjeu produit, ce tableau suffit à trancher. L’alignement de la méthode avec la complexité du projet, c’est ça, le vrai critère de choix.

Quand faire appel à une agence de développement web ?

Pas besoin d’une Digital Factory pour lancer un site vitrine. Mais dès que le projet implique de la complexité, de la scalabilité ou de la valeur métier, le bon partenaire change.

Vous construisez un produit digital structurant

Plateforme métier, outil collaboratif, app B2B, portail client… Ce ne sont pas des sites, ce sont des produits vivants, avec des logiques d’usage, d’itération, de support et de scalabilité.

👉 Ils demandent une méthode, pas juste une exécution.

Vous devez interfacer le produit avec votre SI

ERP, CRM, référentiels internes, système de login, SSO… Une agence web classique ne gère pas ce niveau d’intégration. Tandis qu'une agence dev vous accompagne sur les schémas d’architecture, les APIs, les cycles d’interopérabilité.

Vous visez un MVP rapide, testable, évolutif

Le projet ne doit pas durer 9 mois. Il doit être utilisable vite, mesurable, itératif. L’approche MVP + slicing vertical permet de livrer un parcours complet testable dès les premières semaines.

Votre projet implique des enjeux techniques sérieux

Architecture scalable, sécurité, performances, déploiement… Ici, il faut un partenaire qui maîtrise les fondamentaux : DevSecOps, CI/CD, tests auto, cloud-native.

Vous cherchez à industrialiser votre delivery digital

Le but n’est pas de “livrer un projet”. C’est de poser les bases d’un produit qui pourra évoluer, se maintenir, s’itérer. Une agence de développement, c’est aussi une Digital Factory externalisée.

Conclusion - Deux visions du web, deux niveaux de jeu

Une agence web, c’est le bon partenaire pour exister en ligne. Créer un site, une présence, un support de communication.

Mais dès qu’il s’agit de construire un produit digital, avec des enjeux de delivery, d’usage, d’intégration ou de scalabilité, il faut un tout autre niveau de structuration.

L’agence de développement web, c’est plus qu’un prestataire technique. C’est un co-pilote produit. Un accélérateur de delivery. Un expert de la qualité logicielle. Et un garant de l’industrialisation de votre capacité digitale.

Si votre ambition est de créer une application web robuste, utile, et évolutive…
vous avez besoin d’une agence de développement logiciel. Pas d’une simple agence web.

Pourquoi faire appel à une agence de développement web ou mobile pour votre projet ?
Découvrez pourquoi faire appel à une agence de développement web comme Yield Studio pour vos projets de création d’applications web et mobiles.
Cyrille
20/5/2025

Un jeudi matin, en comité de pilotage, le CTO lâche : “On a déjà cramé 60 % du budget, et on n’a toujours pas de version utilisable.” Silence. Les specs ont changé trois fois. L’équipe interne est sous l’eau. Le freelance principal est parti sur une autre mission. Et personne ne sait vraiment si le produit répond encore au besoin métier de départ.

Ce genre de situation, on le voit souvent chez Yield. Pas parce que les équipes sont mauvaises. Mais parce que construire une application web en 2025, ce n’est pas juste du code. C’est un mélange de discovery produit, d’architecture cloud, de gestion du delivery, de sécurité, de scalabilité… et de décisions à prendre vite.

👉 C’est là que le choix d’un partenaire change tout. Pas une “agence web” qui empile les features. Une équipe produit-tech qui sait cadrer, prioriser, livrer - et surtout, industrialiser la réussite.

On vous montre pourquoi faire appel à une agence experte vous permet de sécuriser vos projets, d’accélérer le delivery et de construire un produit qui tient la route. Pas juste une app de plus.

L’accès immédiat à une expertise pointue

Construire un logiciel métier aujourd’hui, c’est devoir trancher très vite entre :

  • une architecture scalable ou non ?
  • serverless ou conteneurisé ?
  • headless CMS ou framework custom ?
  • quelle stack pour intégrer de l’IA sans bricoler un POC bancal ?

La réalité : peu d’équipes internes ont ce recul — surtout quand elles sont absorbées par la maintenance, les projets en cours, ou les impératifs du quotidien.

👉 Faire appel à une agence spécialisée, c’est court-circuiter la phase de tâtonnement.
Pas besoin de six mois de R&D interne pour comprendre comment intégrer un LLM via LangChain ou mettre en place une archi cloud-native en multi-environnement sécurisé : l’expertise est déjà là, industrialisée.

Une bonne agence ne se contente pas de livrer du code. Elle apporte un regard critique sur l’ensemble du produit :

  • Comment découper les modules pour scaler sans exploser les coûts ?
  • Comment anticiper les sujets de sécurité, d’audit, de conformité (RGPD, ISO, etc.) ?
  • Comment construire une stack qui tient la route à 200 utilisateurs… comme à 10 000 ? 

Ces sujets doivent être posés dès la phase de définition de l’architecture technique - on l’a détaillé dans notre article sur la préparation au développement.

C’est aussi un gain côté produit. Discovery, priorisation par la valeur, user research, arbitrage des features : vous accédez à des profils qui maîtrisent autant le delivery que la stratégie. Des gens qui savent dire non, avec des arguments.

Résultat ? Des choix techniques solides, des décisions structurantes prises dès le départ, et un produit qui évite les impasses.

Retour d’XP : 

Une scale-up B2B venait de recruter son premier lead dev. Il gérait déjà la refonte du SI, l’onboarding des juniors, les incidents en prod… Impossible pour lui de tester sereinement une nouvelle stack cloud + IA. En 2 semaines, notre équipe a cadré un socle technique modulaire avec intégration RAG, POC validé et plan de montée en charge. Le tout en mobilisant une stack éprouvée, avec une infrastructure et des outils prêts à l’emploi.

Une méthodologie ultra structurée et éprouvée

Un bon produit ne naît pas d’un brief. Il se construit dans la clarté, la rigueur et les bons arbitrages au bon moment.

Chez Yield, on voit passer beaucoup de projets qui ont échoué… non pas faute de moyens, mais faute de méthode. Pas de vision produit alignée. Pas de découpage clair. Pas de priorisation par la valeur. Résultat : un tunnel de dev, des features inutilisées, et une équipe qui s’épuise.

👉 Une agence sérieuse n’improvise pas sa façon de faire. Elle applique une méthodologie industrielle, éprouvée sur des dizaines de projets.

Ça commence dès le jour 1 :

  • On cadre une vision produit claire et partagée, avec les parties prenantes clés
  • On co-construit le périmètre avec le trio Produit / Tech / Design à la même table.
  • On découpe par slicing vertical : pas des specs techniques en cascade, mais des parcours utilisateurs complets, testables à chaque sprint.
  • On priorise les livrables avec des méthodes comme RICE : valeur métier, impact utilisateur, complexité réelle. 

Le tout orchestré avec un backlog vivant, des rituels agiles tenus (vraiment), et un focus constant sur l’impact produit — pas juste le delivery.

Ce que vous gagnez : un produit construit au bon rythme, des fonctionnalités utiles livrées vite, et une équipe qui reste alignée dans la durée.

Retour d’XP :

Sur un projet dans l’assurance, le client pensait avoir “tout spécifié” en amont. Résultat : 180 pages de specs… et zéro vision produit. On a repris le sujet en discovery, clarifié les priorités avec l’équipe métier, appliqué une logique de découpage par valeur métier. En 3 semaines, un MVP clair était cadré, avec une roadmap réaliste sur 3 mois. Ce qu’il manquait, ce n’était pas du temps ou du budget. C’était une méthode.

Une réduction maximale des risques

Un projet logiciel peut déraper vite. Un changement de spec mal anticipé. Une mise en prod qui casse l’existant. Un usage qui stagne après la release. Et tout le monde se retrouve à éteindre des incendies, au lieu de créer de la valeur.

👉 La vraie différence entre une équipe artisanale et une équipe structurée, c’est la gestion proactive du risque.

Une agence sérieuse sécurise chaque étape du delivery :

  • Feature flags pour activer / désactiver les modules sans impacter toute la prod.
  • Canary releases pour déployer progressivement, observer les impacts, corriger à chaud.
  • Blue-green deployment pour basculer sans rupture.

Côté qualité, les pipelines de CI/CD tournent en continu. Les tests sont automatisés, versionnés, intégrés dès le début. Pas en mode “on testera après quand ce sera stable”. On a détaillé ces pratiques dans notre article sur les tests et le monitoring.

Et après la mise en production ? Le suivi continue : taux d’adoption, usage réel, retours terrain, tickets support. Pas juste “c’est en ligne” - mais “ça marche, ça sert, ça évolue”.

Résultat ? Moins de bugs critiques, moins d’effet tunnel, plus de sérénité pour vos équipes internes. Et surtout : un produit qui peut grandir sans se fragiliser.

Retour d’XP :

Sur un projet e-commerce B2B, la première mise en production a été stoppée net par une régression non détectée côté API. Pourquoi ? Les tests étaient là, mais non maintenus. Depuis, chaque sprint inclut une passe QA systématique, des tests de non-régression versionnés, et des canary releases sur environnement miroir. Plus aucun incident bloquant depuis 6 mois.

L’accélération du time-to-market

Un produit qui met 9 mois à sortir sa première version a déjà un pied dans l’échec.
Les attentes ont changé. Les users sont passés à autre chose. L’équipe est usée. Et le business n’a rien à montrer.

👉 Une agence produit-tech, c’est aussi une machine de delivery bien huilée, capable de livrer vite — mais propre.

Concrètement :

  • Une équipe opérationnelle prête en quelques jours, avec les bons outils, les bons rituels, les bons réflexes.
  • Une first usable version en 4 à 6 semaines, testable par les utilisateurs métiers. Pas une maquette figée, un vrai produit. On pose les bases dès la phase de prototypage interactif - comme on l’explique ici.
  • Un rythme de sprint soutenu, avec des releases toutes les 2 à 3 semaines, pas tous les trimestres.

Et surtout : une capacité à intégrer les feedbacks rapidement. Pas dans 6 mois. Pas “pour la V2”. Mais dès la prochaine itération. On teste, on ajuste, on pivote si nécessaire - sans remettre tout à plat.

À la clé : un produit vivant, visible, qui progresse sous les yeux des parties prenantes. Et une capacité à convaincre vite - en interne comme en externe.

Une industrialisation complète du delivery

Un bon produit, ce n’est pas un one-shot. C’est une capacité à délivrer de la valeur métier de façon répétée, structurée, prévisible.

C’est exactement ce que permet une agence qui fonctionne en mode digital factory externalisée : une équipe stable et dédiée, des fondations tech solides et une organisation orientée delivery continu.

Concrètement, ça veut dire quoi ?

  • Un socle cloud partagé (infra, CI/CD, monitoring, sécurité) pour aller vite sans réinventer.
  • Des assets logiciels mutualisables : composants UI, briques d’auth, modules de notification…
  • Une gouvernance claire : budget piloté, backlog outillé, roadmap par palier.
  • Et surtout : une capacité à s’intégrer finement dans votre SI (ERP, CRM, outils internes), sans tout casser.

On ne parle pas ici d’un prestataire qui livre une app. On parle d’un partenaire qui construit avec vous un système de delivery robuste, modulaire, capitalisable.

Et plus vous avancez, plus vous gagnez en autonomie - avec des fondations qui vous permettent de lancer d’autres produits, sans repartir de zéro. Encore faut-il maintenir ces fondations dans le temps - on l’aborde dans notre article sur la dette technique et la maintenabilité.

Conclusion - Une agence, oui. Mais une vraie.

Faire appel à une agence produit-tech, ce n’est pas déléguer un projet. C’est structurer votre capacité à livrer un logiciel utile, utilisé et maintenable dans le temps.

Vous gagnez :

  • une expertise pointue, pour faire les bons choix techniques et produits dès le départ ;
  • une méthodologie éprouvée, pour prioriser, découper et livrer sans friction ;
  • un delivery rapide, sécurisé, mesuré, piloté par l’usage et les retours métier ;
  • et surtout : une approche industrialisée, pensée pour durer — pas juste pour livrer une V1.

La vraie différence, elle est là. Une agence “prestataire” code ce qu’on lui demande. Une agence “accélérateur de réussite produit” co-construit, challenge, et délivre de la valeur métier.

À vous de choisir ce dont votre projet a vraiment besoin.

FAQ

La réponse à vos questions

Combien coûte un site e-commerce B2B ou B2C sur-mesure ?
Dès 20k€ pour un MVP solide. Le budget dépend de la complexité du tunnel d’achat, des intégrations et des volumes.
En combien de temps peut-on lancer la plateforme e-commerce ?
Nous visons une première version en 3 mois, avec mise en production rapide sur les fonctionnalités essentielles.
Peut-on connecter le site à notre ERP ?
Oui, c’est notre spécialité. Nous avons l’expérience de nombreux connecteurs (SAP, Sage, Odoo, etc.).
Peut-on vendre à la fois en B2B et B2C ?
Bien sûr. On gère les rôles utilisateurs, les tarifs spécifiques, les tunnels d’achat différenciés.
Et pour le SEO, vous faites quoi ?
On construit la plateforme en pensant SEO dès le départ : structure, performance, balises, contenu indexable, etc.

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