AGENCE APPLICATION MOBILE

Lançons votre application mobile en un temps record.

Yield Studio est l'une des 1ères équipes à avoir misé sur les technologies cross-platform comme React Native afin de réduire les coûts et les temps de développement, le tout avec un code de grande qualité.

Garantie

Développement plus rapide et moins cher

Yield Studio a été l’une des premières agences à miser sur React Native pour réduire les coûts et accélérer le lancement d’applications mobiles. Notre approche cross-platform permet de développer simultanément sur iOS et Android, sans perte de performance.

Nos développeurs, passés par les plus belles équipes mobiles, conçoivent des applications performantes, scalables et maintenables, tout en réduisant les coûts et les délais.

Discutons de votre projet mobile dès maintenant
Confiance

Bénéficiez de notre recul pour vous challenger

Construire une application mobile est un levier stratégique redoutable pour accroître votre business ! Son but ? Vous permettre d'améliorer l'efficience opérationnelle de votre business ou bien développer un nouveau relai de croissance. Avec 15% de hausse annuelle de téléchargement des applications mobiles, il est primordial d'investir dessus.

Avec plus de 6 ans d’expérience et 70+ applications développées, nous avons acquis un regard stratégique pour vous aider à anticiper les défis technologiques et optimiser la performance de votre application.

Plus de 70 apps

mobiles créées et refondues sur lesquelles nos équipes sont intervenues

Déjà 6 ans

que Yield Studio est un leader dans l’univers des agences de développement d’application mobile

Plus de 600k

utilisateurs cumulés sur toutes les applications  que nous avons développé pour nos clients

Plus d'1 million

de requêtes API sont faites chaque jour sur les applications de nos clients que nous maintenons

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Focus utilisateur

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Time To Market

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Création d’application mobile

Lancer une application réussie ne se limite pas à coder une interface. Chez Yield Studio, nous accompagnons nos clients dès la conception pour développer des applications mobiles performantes et évolutives.

Découvrir

Voir aussi

Mobile Devops pour accélérer le cycle de vie de votre application
Compétence n°2

Refonte d’application mobile

Une application vieillissante peut freiner la croissance de votre business. Nous vous aidons à moderniser votre application en améliorant son UX, ses performances et sa scalabilité.

Découvrir

Voir aussi

Audit de performance pour une application existante
Migration cross-platform pour un passage sur React Native
Compétence n°3

Tierce Maintenance Applicative (TMA)

Un code mal structuré entraîne bugs, lenteurs et dettes techniques. Nos experts réalisent des audits complets pour évaluer la qualité de votre application, identifier les goulots d’étranglement et proposer des optimisations concrètes.

Notre objectif : vous garantir un code fiable, maintenable et prêt à évoluer sans friction.

En savoir plus
Cas Clients

Découvrez nos réalisations clients

Tkcare

Refonte d'une application mobile pour une agence d'intérim dans la santé
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Chronos Jobs

Création d'une application mobile et d'un back-office pour réseau d'agences d'intérim
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Travaux & Environnement

Application de gestion des équipes sur les chantiers (suivi rh, pointage horaire, comptes-rends, suivi de matériel, …)
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CPZou

Création d’une application mobile pour Zou un acteur majeur du transport urbain et interurbain en Provence
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Fonctionnalités

Focus sur quelques fonctionnalités phares développées pour nos clients

Nous développons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de nos clients. Voici quelques exemples :

Mode hors-ligne intelligent : accès aux fonctionnalités clés sans connexion internet (ex. stockage local, synchronisation automatique).
Gestion avancée des notifications :  push segmenté en fonction du comportement utilisateur.
Paiement in-app sécurisé : intégration Apple Pay, Google Pay, Stripe, PayPal.
Reconnaissance d’image & OCR : scan de documents (factures, cartes de visite).
Antoine ORIOL
Responsable Innovation
On avait un besoin d'accompagnement sur tout notre écosystème digital afin de collaborer avec des personnes qui avaient une expertise technique & produit. Je recommande complètement Yield Studio pour l'écoute, la réactivité et la force de proposition. Le fait d'avoir un partenaire qui a une expertise technique mais en plus une compréhension business qui lui permette de prioriser l'utilité et l'usage des fonctionnalités rend cette collaboration pleine de valeur !
Fonctionnement

Une approche en 5 phases

ETAPE 1

Compréhension utilisateur

Identification des problématiques de vos utilisateurs, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de marché pour cadrer le projet.

1 à 3 semaines
ETAPE 2

Conception & Prototypage

Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des utilisateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.

2 à 4 semaines
ETAPE 3

Développement agile

Codage de l'application mobile iOS et Android en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.

6 à 12 semaines
ETAPE 4

Tests & améliorations

Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.

1 à 3 semaines
ETAPE 5

Itérations

Mettre l'application en ligne et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions du marché. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !

Nos experts mobile

Timothée
Développeur sénior
Alexandre
Développeur sénior
Arthur
Développeur sénior
Adrien
Développeur sénior
Alexis
Développeur sénior
Jonathan
Lead Développeur
Louis
Développeur sénior
Thibaut
Lead Développeur
Sergio
Développeur sénior
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Développeur sénior
Julien
Head of Mobile
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Développeur sénior
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Chief Technical Officer & Co-founder
David
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Découvrez le mot de notre co-fondateur

Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio.  Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business

+150

Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

9,8/10

de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.

Expertises

Développement web & mobile

Product Management

Data & IA

Yield Studio logo blanc

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Co-fondateur & CPO

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TMA (tierce maintenance applicative) mobile : Guide complet
Maintenance, TMA, support produit : peu importe le nom — ce qui compte, c’est de savoir comment vous faites durer votre app.
Cyrille
23/4/2025

Un matin, un bug. L’app ne s’ouvre plus sur certains Android. Un jour plus tard, un autre : les utilisateurs ne peuvent plus se connecter via Apple ID. 

Trois semaines passent. Les notes chutent, les users churnent, et l’équipe produit commence à entendre la question qui fait mal : “C’est normal qu’on n’ait rien prévu pour ça ?”

En 2025, créer une application mobile, c’est bien. Mais la faire vivre, c’est vital.

Trop d’entreprises consacrent 90 % de leur budget à la phase de build… et laissent la maintenance à l’improvisation. Résultat : un produit fragile, des updates qui trainent, des correctifs en urgence, et un vrai coût business — réputation, rétention, sécurité.

👉 Dans cet article, on remet les pendules à l’heure. On vous explique :

  • ce que recouvre réellement la maintenance mobile (et ce qu’on oublie souvent) ;
  • pourquoi elle est clé pour la performance, la sécurité, et la longévité d’un produit ;
  • et comment l’organiser concrètement, pour que chaque mise à jour soit un vrai levier de valeur.

Maintenance, TMA, support produit : peu importe le nom — ce qui compte, c’est de savoir comment vous faites durer votre app.

Maintenance mobile : qu’est-ce que ça recouvre (vraiment)

Développer une application, c’est lancer un produit. La maintenir, c’est le faire vivre.

Et trop souvent, ce qui est perçu comme un “petit poste de dépense annexe” devient en réalité le socle de sa performance à long terme. Car une application mobile n’est jamais “finie” : elle évolue, elle s’adapte, elle doit rester fluide malgré les mises à jour d’OS, les nouvelles attentes des utilisateurs ou les besoins métier qui changent.

👉 La maintenance mobile, ce n’est pas juste corriger des bugs. C’est tout ce qui permet à ton app de rester utile, performante, et bien classée — même 6, 12, 24 mois après la mise en ligne.

Ce que comprend (vraiment) une TMA mobile bien pensée

Pas besoin de tout faire tout de suite. Mais un bon plan de maintenance doit couvrir 6 piliers essentiels. Voici ce qu’on met en place dans 90 % des projets Yield.

Correction des bugs

Des crashs, des comportements inattendus, des lenteurs… une app sans bug, ça n’existe pas. Ce qui compte, c’est :

  • la capacité à les identifier rapidement (via monitoring ou retours terrain) ;
  • la rapidité de correction ;
  • la transparence avec les équipes métier ou les utilisateurs.

Chez Yield, on priorise les anomalies dans un backlog dédié, avec un traitement itératif et une logique de “triage express”.

Sécurité et protection des données

Une app mobile, c’est un point d’entrée sensible. Et plus l’app traite de données critiques (santé, RH, finance), plus la sécurité est non négociable :

  • Mise à jour des dépendances critiques ;
  • Audits de sécurité réguliers (internes ou via tiers) ;
  • Authentification renforcée (2FA, biométrie, etc.) ;
  • Logging d’audit pour le RGPD.

Pas besoin d’être une néo-banque pour sécuriser sérieusement : toute app pro ou B2B y est exposée.

Suivi des mises à jour OS

À chaque nouvelle version d’iOS ou d’Android, certaines fonctions cassent, des composants deviennent obsolètes, des designs sautent.

Une maintenance efficace inclut :

  • des tests de compatibilité dès les bêtas développeur ;
  • des correctifs proactifs pour les mises à jour critiques ;
  • un accompagnement dans la validation App Store / Google Play.

Ne pas anticiper ces changements, c’est risquer le rejet du store ou l’instabilité sur les nouveaux appareils.

Monitoring de la performance

Une app lente, instable ou qui plante, ça se désinstalle.

Dès la mise en ligne, il faut monitorer en continu :

  • le taux de crash ;
  • le temps d’affichage des écrans clés ;
  • les parcours abandonnés ;
  • les erreurs serveur ou API.

On installe souvent Sentry, Firebase ou DataDog dès la V1 — car les problèmes les plus coûteux sont ceux qu’on ne voit pas venir.

Évolutions fonctionnelles

La TMA ne sert pas qu’à maintenir le périmètre existant. C’est aussi un moyen d’améliorer ton app, petit à petit :

  • ajout de features attendues par les utilisateurs ;
  • refonte de parcours trop complexes ;
  • itérations design ou UX sur la base des feedbacks.

On travaille en lots courts (2 à 4 semaines), pour valider chaque amélioration métier avec les équipes terrain.

Maintenance du backend

Une app mobile ne vit pas seule : elle repose souvent sur une API, une base de données, un dashboard métier.

La maintenance doit aussi inclure :

  • des mises à jour serveur régulières ;
  • une surveillance de la charge et des pics d’activité ;
  • la gestion des versions et de la scalabilité.

Pourquoi c’est indispensable (et rentable)

“On verra la maintenance plus tard.” Spoiler : c’est souvent trop tard.

Car ce n’est pas quand les crashs arrivent ou que les utilisateurs désertent qu’il faut agir. C’est avant. Une app qui fonctionne bien aujourd’hui peut devenir inutilisable demain — et pas parce que l’équipe a mal bossé. Mais parce que le contexte évolue en continu.

👉 La maintenance, ce n’est pas un coût “subi”. C’est un levier de rentabilité, de rétention et de crédibilité produit. Voici pourquoi.

Une base utilisateurs plus large (et plus fidèle)

Chaque mise à jour est une preuve : votre app est vivante. Et ça change tout.

Elle montre que vous corrigez vite. Elle prouve que vous écoutez vos utilisateurs. Elle rassure ceux qui hésitent encore à l’utiliser.

Résultat ? Une meilleure adoption, une meilleure rétention, et une satisfaction qui se voit dans les commentaires store ou les retours internes.

💡 Un bug corrigé en 3 jours, c’est perçu comme un engagement. En 3 semaines, c’est vu comme un manque de fiabilité.

Un meilleur classement dans les stores

Apple et Google n’aiment pas les apps à l’abandon. Et ça se voit.

Les stores valorisent les apps qui sont mises à jour régulièrement, restent compatibles avec les derniers OS, et corrigent les erreurs rapidement.

Concrètement : plus de visibilité = plus de téléchargements = plus de ROI sur votre app.

Une durée de vie rallongée (donc un meilleur amortissement)

Sans maintenance, votre app a une date de péremption.

Elle plante à chaque nouveau device. Elle devient vulnérable. Elle finit par être inutilisable… ou désinstallée.

Avec une TMA bien pensée, votre app peut durer 3 à 5 ans sans refonte majeure. Et ça, c’est un énorme levier de rentabilité :

💡 Une app refondue tous les 18 mois = 2 à 3 fois le budget initial à moyen terme.
Une app bien maintenue = un coût amorti, un produit stable, une roadmap maîtrisée.

Une sécurité renforcée

La moindre faille peut coûter très cher — RGPD, perte de données, réputation entachée.

Ce que permet une maintenance régulière :

  • Suivi des vulnérabilités connues ;
  • Mise à jour des bibliothèques critiques ;
  • Patching rapide en cas d’alerte ;
  • Audit de sécurité automatisé ou programmé.

🛡️ En 2025, la sécurité ne se traite pas en one-shot. C’est un réflexe permanent, et c’est la TMA qui le garantit.

Un outil métier toujours aligné avec la réalité du terrain

Si votre app est un outil interne ou B2B, le manque de maintenance freine la productivité. 

Vos équipes doivent contourner des bugs récurrents. Les besoins évoluent, mais rien ne change dans l’interface. Chaque évolution devient un projet à part entière, lourd et lent.

Une bonne TMA permet :

  • d’intégrer les retours terrain au fil de l’eau ;
  • de déployer des évolutions légères sans rupture ;
  • de garantir une continuité de service, même avec des changements en cours.

Anticiper la maintenance dès la phase de build : le vrai levier sous-estimé

Ce n’est pas la maintenance qui coûte cher. C’est de ne pas l’avoir prévue.

On voit encore trop de projets où la TMA devient un fardeau imprévu — parce qu’aucune base n’a été posée au moment du build. Résultat : chaque bug devient un projet, chaque montée d’OS une galère, chaque évolution une prise de tête.

👉 Ce qu’on vous montre ici, c’est comment poser des fondations solides dès le début — pour que votre app ne soit pas juste “livrée”, mais durablement maintenable.

Concevoir une architecture qui résiste au changement

La première dette technique, c’est souvent le découpage du code.

Une app mono-bloc, mal segmentée, c’est :

  • des bugs en cascade dès qu’on touche à une feature ;
  • une courbe d’apprentissage explosive pour un nouveau dev ;
  • des évolutions impossibles sans tout refaire.

💡 Chez Yield, on pose une architecture modulaire dès la V1 : features isolées, services découplés, design system réutilisable. Parce que c’est ce qui permet, 6 mois plus tard, d’itérer vite — sans tout casser.

Outiller la supervision dès les premiers sprints

Le piège classique : attendre d’avoir des utilisateurs pour monitorer… alors qu’on aurait pu éviter les erreurs avant même qu’elles n’arrivent.

Dès la mise en ligne, votre app devrait déjà logguer, tracer, alerter.

Ce qu’on installe systématiquement :

  • Sentry pour les erreurs front ;
  • Firebase Performance Monitoring pour les lenteurs invisibles ;
  • Datadog ou ELK côté back pour suivre les pics d’activité et les exceptions silencieuses.

👉 Ce n’est pas du luxe. C’est le minimum pour ne pas piloter à l’aveugle.

Documenter juste ce qu’il faut (mais vraiment)

“On documentera après”. On connaît tous la suite : personne ne documente, puis tout le monde rame.

Pas besoin de 30 pages. Mais vous devez poser une base lisible :

  • Architecture générale (backend, app, services tiers) ;
  • Stack technique et dépendances critiques ;
  • Procédures clés (déploiement, mise à jour, rollback).

Une doc légère mais claire, c’est ce qui permet à un nouveau dev d’intervenir sans tout redemander. Et à votre prestataire de maintenance de ne pas tout réinventer.

Inscrire la maintenance dans le backlog produit

Ce n’est pas “à part”. C’est dans le flux.

Une maintenance bien gérée commence… dans les tickets. Concrètement :

  • Créez un tag maintenance dans votre backlog dès le sprint 1 ;
  • Réservez 20 à 30 % de bande passante à la dette tech et aux retours de production ;
  • Priorisez ces sujets comme des features métier — car c’en sont.

Une app qui tient dans la durée, c’est une app où on itère sur ce qui gêne… pas juste sur ce qui brille.

Choisir le bon partenaire pour maintenir votre app

Trouver un bon prestataire pour créer une app, c’est déjà un défi. Mais en trouver un qui puisse la maintenir dans la durée, sans perte de qualité ni d’historique… c’est encore plus critique.

Voici les points à avoir en tête pour choisir un partenaire de TMA fiable, réactif et aligné avec vos enjeux.

Continuer avec l’équipe de développement initiale ? Souvent, oui

Si le prestataire qui a développé l’application est fiable et structuré, c’est généralement le choix le plus fluide. 

Pourquoi ? Il connaît l’architecture et les choix techniques. Il a la documentation (quand il y en a). Et il peut anticiper les effets de bord.

En revanche, si l’équipe tourne, ou si la relation s’est étiolée, il vaut mieux repartir sur une base saine.

Reprendre avec une nouvelle équipe ? C’est possible… à conditions claires

Un prestataire expert en TMA peut parfaitement reprendre une app, même sans avoir fait le développement initial. Mais il doit être structuré pour ça.

Voici les points à valider :

  • Capacité d’audit rapide (code, archi, dépendances) ;
  • Maitrise des frameworks utilisés (Flutter, Swift, Kotlin…) ;
  • Expérience en reprise de dette technique (et pas juste en “build from scratch”) ;
  • Process de passation et documentation technique solide.

💡 Pro tip : une reprise sérieuse commence toujours par un audit flash — c’est ce qui évite les mauvaises surprises et permet de poser un cadre clair.

Les 5 critères à surveiller chez un partenaire TMA

Voici notre checklist chez Yield pour valider qu’un partenaire est prêt à prendre le relai :

Le facteur confiance (et transparence)

La TMA, ce n’est pas “du support”. C’est un travail de fond, qui nécessite :

  • une visibilité sur ce qui est fait (et quand) ;
  • une capacité à dire non (ou pas maintenant) ;
  • une culture du delivery régulier, même sur de petits lots.

Chez Yield, c’est ce qu’on appelle une relation produit, pas juste une “prestation de maintenance”.

Organiser une maintenance mobile qui tourne (vraiment)

Une maintenance efficace, ce n’est pas une checklist à cocher une fois par trimestre. C’est un système vivant, qui s’intègre au quotidien de votre produit. Chaque brique a son propre rythme, sa méthode, ses enjeux.

👉 Voici les 6 composantes clés d’une TMA mobile bien structurée — et comment les organiser concrètement.

Corriger les bugs : en continu, pas par lot

Un bug critique ne peut pas attendre une version mensuelle. Les équipes doivent pouvoir le prioriser, le tracer, et le corriger rapidement.

Ce qu’on recommande :

  • Un backlog de bugs partagé, priorisé chaque semaine ;
  • Une répartition claire : correctif immédiat (hotfix) vs correctif planifié ;
  • Une procédure de rollback ou de patch rapide en cas de blocage en prod.

Assurer la compatibilité avec les OS (sans attendre le crash)

Chaque mise à jour majeure d’iOS ou Android peut casser une app. Il faut donc anticiper, tester, et corriger en amont, dès la bêta publique des OS.

Les bons réflexes :

  • Mise à jour planifiée à chaque version majeure ;
  • Appareils de test en version bêta dès leur sortie ;
  • Suivi des breaking changes dans la documentation Apple/Google.

Suivre la performance, pour ne pas découvrir les problèmes après l’utilisateur

Un bon monitoring, c’est ce qui permet de détecter une lenteur, une surcharge ou une erreur silencieuse avant qu’elle n’impacte l’usage réel.

Les outils qu’on recommande :

  • Firebase Performance Monitoring ;
  • Sentry pour les crashs et erreurs JS natifs ;
  • Outils custom via DataDog ou Prometheus côté back.

👉 Ce suivi doit être intégré dès la V1, pas “plus tard”.

Gérer les évolutions : un sprint dédié ou un lot par mois

L’app évolue. C’est normal. Mais pour éviter la dérive, chaque demande métier doit passer par un refinement clair, un arbitrage produit, et une planification réaliste.

Deux formats possibles :

  1. 1 sprint TMA tous les 2 mois, avec sujets fonctionnels + correctifs ;
  2. Ou un “lot maintenance” intégré à chaque cycle produit.

Ce qu’il faut éviter : accumuler les petits tickets non priorisés pendant 3 mois… puis vouloir tout livrer d’un coup.

Maintenir le backend : sécurité, versions, performance

On oublie souvent que l’app mobile repose sur un backend — API, base, infra. Et que si cette brique bouge sans contrôle, l’app plante.

Ce qu’on prévoit systématiquement :

  • Suivi des dépendances critiques (Node, Laravel, PostgreSQL…) ;
  • Montées de version sécurisées, testées hors-prod ;
  • Patchs de sécurité appliqués dans les 7 jours suivant leur publication.

Superviser en continu : logs, crashs, alertes

Sans supervision, vous volez à l’aveugle. Une app stable, c’est une app qu’on observe, pas une app qu’on “espère”.

Ce qu’on pose dès le départ :

  • Collecte et tri automatique des logs (Datadog, LogRocket, ELK) ;
  • Alertes en cas de crash ou d’exception critique (via Slack ou email) ;
  • Rapports mensuels ou hebdo pour faire le point.

👉 En résumé : la maintenance mobile, ce n’est pas juste “corriger des bugs”. C’est maintenir un produit digital vivant, stable, sécurisé, et capable d’évoluer avec son marché.

Combien coûte la maintenance d’une application mobile ?

C’est LA question qu’on finit toujours par poser. Et c’est normal : maintenir, ça a un coût. Mais comme souvent, la bonne réponse, c’est : ça dépend. Pas du nombre d’écrans, ni du langage utilisé. Mais de la structure de l’app, de son usage réel… et de ce qu’on veut en faire dans la durée.

Voici les 3 grands postes à prévoir — et les ordres de grandeur réalistes pour 2025.

Le socle “vital” : support, correctifs, compatibilité

C’est le minimum pour éviter que votre app ne plante à la première mise à jour d’iOS.

Ce que ça inclut :

  • Correction de bugs (mineurs et critiques) ;
  • Suivi des mises à jour OS (Android / iOS) ;
  • Monitoring de performance et de crash ;
  • Mise à jour des dépendances critiques.

💸 Budget annuel moyen : 15 à 25 % du coût de développement initial
👉 Pour une app à 80 000 €, comptez entre 12 000 et 20 000 €/an pour ce socle.

Le lot d’évolutions métier : garder une app utile (et utilisée)

Une app figée, c’est une app morte. Prévoir un lot d’évolutions régulières, c’est ce qui permet de :

  • intégrer les retours terrain ;
  • ajuster les parcours utilisateurs ;
  • enrichir la valeur métier.

💸 Budget annuel moyen : 10 à 20 jours de dev / design / QA par trimestre
Soit environ 15 000 à 40 000 €/an, selon le périmètre.

Les coûts “silencieux” : infra, sécurité, supervision

Ce sont les lignes qu’on oublie souvent… mais qui font toute la différence :

  • Hébergement cloud / bases de données ;
  • Suivi sécurité (audits, patchs) ;
  • Outillage (monitoring, ticketing, reporting).

💸 Comptez environ 3 000 à 10 000 €/an, selon la complexité de l’archi.

Exemple de budget de maintenance sur 2 ans

💡 À retenir : un budget de TMA bien anticipé évite une refonte complète au bout de 18 mois. Ce qui en fait le meilleur amortissement long terme.

Maintenir, c’est faire vivre (et faire gagner)

Une application mobile ne meurt pas parce qu’elle est mal conçue. Elle meurt parce qu’on l’abandonne après sa mise en ligne.

Pas de correctifs rapides = des notes en chute.
Pas de mises à jour OS = une app rejetée du Store.
Pas de suivi des usages = des utilisateurs qui désertent.

À l’inverse, une application bien maintenue, c’est une app qui :

  • reste fluide sur tous les appareils,
  • évolue avec les besoins métier,
  • anticipe les problèmes de sécurité,
  • et continue de livrer de la valeur des mois — voire des années — après sa sortie.

💡 La vraie question n’est pas “combien coûte la maintenance d’une app ?” mais “combien vaut sa stabilité et sa capacité à durer”.

Que vous soyez porteur de projet ou DSI, la qualité de votre maintenance conditionne la réussite de votre application. 

Vous voulez estimer votre budget de maintenance, reprendre un existant avec une nouvelle équipe ou anticiper les ruptures iOS/Android à venir ?

👉 Parlez-nous de votre app. On vous aide à poser une stratégie claire, durable et alignée avec vos enjeux réels.

Création d'une application mobile : Guide Complet
Créer une app, ce n’est plus simplement “mettre une interface dans un store”. C’est construire un produit à part entière — utile, fiable, adopté.
Cyrille
18/4/2025

90 % du temps passé sur smartphone l’est dans des apps. Et ce chiffre ne faiblit pas. Achat, logistique, santé, formation, RH… le mobile est devenu le point d’entrée par défaut.

Mais les règles du jeu ont changé. Aujourd’hui, les attentes sont claires : une interface qui répond au quart de seconde, une expérience qui s’adapte à l’usage, de l’IA bien intégrée (pas juste un chatbot gadget), et zéro surchauffe ou vidage de batterie. Une app, ça doit marcher vite, bien, longtemps — sinon, elle est supprimée.

👉 Créer une app, ce n’est plus simplement “mettre une interface dans un store”. C’est construire un produit à part entière — utile, fiable, adopté.

Et c’est là que beaucoup se plantent : ils pensent “développement”, là où il faut penser vision produit, stratégie d’usage, et arbitrage UX/tech.

Étape 1 – De l’idée au concept produit

Avant de penser dev, stack ou fonctionnalités… il faut valider le plus important : est-ce qu’on résout un vrai problème ?

Pas un “ce serait cool si” — un irritant concret, prioritaire, vécu sur le terrain.

C’est ce qu’on appelle le Problem/Solution Fit. Tant qu’on ne l’a pas, le risque est simple : construire une app que personne n’utilise.

Pour poser les bases du bon produit, quelques outils suffisent :

On ne parle pas de framework magique, mais de grilles qui permettent de sortir du flou — vite.

  • Entretiens utilisateurs : 5 interviews ciblées valent mieux que 50 suppositions. Ce que disent (et vivent) vos futurs utilisateurs est plus précieux que n’importe quelle feature list.
  • Lean Canvas : une vision produit + marché, synthétisée en une page. On y pose les bases : problème, solution, segment, canaux, revenus, etc.
  • Opportunity Tree : pour structurer les options produit. Pas juste empiler des fonctionnalités, mais garder le lien entre le besoin, l’objectif, et l’action utile.

Pour formaliser tout ça, deux formats simples à utiliser :

Pas besoin d’un doc de 20 pages. Un Product Canvas ou une fiche JTBD (Jobs To Be Done) bien remplie suffit à cadrer une V1.

Ce que vous devez faire apparaître :

  • Le problème que vous adressez ;
  • Le profil utilisateur visé ;
  • Le scénario d’usage clé ;
  • Le résultat attendu, mesurable, concret.

Toujours viser une V1 chirurgicale

Pas un proto fourre-tout. Pas une app “qui en jette”. Juste ce qu’il faut pour prouver l’usage, rien de plus.

  • Uber V1 ne gérait que les courses à San Francisco, avec une flotte privée.
  • Yuka scannait un code-barres et affichait une note, point.
  • Doctolib, au départ, permettait uniquement de prendre un rendez-vous avec un généraliste à Paris.

👉 À chaque fois : une seule feature critique, bien exécutée, pour tester l’appétence réelle.
Pas besoin de tout livrer pour apprendre — juste de viser juste.

Et surtout : éviter les 5 pièges classiques

On les voit tous les jours. Ils coûtent du temps, de l’énergie, et des budgets gaspillés.

Voilà ce que vous devez éviter :

  • Se lancer sans parler à un seul utilisateur ;
  • Empiler 12 features pour “faire complet” ;
  • Copier un concurrent sans comprendre l’usage réel ;
  • Viser trop large trop tôt ;
  • Ne pas définir ce qu’est une V1 utile.

Une bonne app commence par un besoin prioritaire. Pas par une liste de fonctionnalités.

Étape 2 – Choisir la bonne techno : ambition, usage, budget

Ce n’est pas “quelle techno est la meilleure ?” C’est quelle techno est la plus adaptée à votre produit, votre budget, votre ambition.

Car non, vous n’êtes pas obligé de faire du natif. Et non, le low-code n’est pas “du faux dev”.
Ce qui compte, c’est ce que vous visez.

Native : pour les applis qui doivent tout faire, vite et bien

C’est le haut de gamme. Une app iOS en Swift, une Android en Kotlin. Deux bases de code, deux équipes.

Mais une fluidité parfaite, un accès complet au hardware, et des performances au rendez-vous.

Typiquement ? Une app bancaire, de gaming, de streaming, ou avec de lourdes contraintes offline. 

C’est solide… mais c’est cher. Et plus lent à faire évoluer.

Hybride : le bon choix pour 80 % des projets

Une base de code unique (Flutter, React Native), deux plateformes couvertes. Résultat : moins de budget, plus de vélocité, et une app qui coche quasiment toutes les cases.

Chez Yield, c’est notre go-to stack pour la majorité des apps B2B ou des MVPs un peu ambitieux — comme cette app de gestion des congés, connectée au SIRH, pensée mobile-first et livrée en quelques semaines.

PWA : le web qui joue à être une app

Pas besoin de passer par les stores. Un clic sur un lien, et l’app s’ouvre. C’est rapide, léger, frictionless.

Mais attention : l’expérience n’est pas totalement native. Et les possibilités restent limitées côté fonctionnalités avancées (notifs, GPS, accès hardware…).

C’est idéal pour un configurateur produit, une app événementielle ou un tunnel de réservation mobile-first.

Low-code / No-code : tester vite, lancer proprement

Vous avez un besoin interne, un usage à valider ou une app Excel à professionnaliser ? Le low-code est votre ami.

Des outils comme WeWeb, Glide ou FlutterFlow permettent de créer des interfaces robustes… sans passer 3 mois en dev natif.

Mais attention : ce n’est pas un raccourci. Il faut cadrer, designer, tester. Sinon, vous livrez un outil bancal plus vite — mais pas mieux.

Exemple : app de saisie terrain pour techniciens, montée en quelques semaines avec FlutterFlow.

💡 La question n’est pas “quelle est la meilleure techno”, mais “laquelle me permet de livrer une V1 utile, dans mon timing, avec mes moyens”.

Retour d’XP :
“ Une startup industrielle vient nous voir avec un MVP no-code bâti sur Glide : usage validé, adoption confirmée… mais limites atteintes sur les perfs et la gestion fine des droits. On a repris avec FlutterFlow, en gardant la logique fonctionnelle.
Moralité : le no-code est top pour tester — mais cadré dès le départ pour éviter le refacto total.”

Étape 3 – Le design UX/UI au cœur du succès

Une bonne app, ce n’est pas (juste) une app jolie. C’est une app qu’on comprend en 3 secondes, qu’on utilise sans friction, et qu’on a envie de rouvrir.

En 2025, l’expérience prime sur l’esthétique. Les utilisateurs ne pardonnent pas les parcours tordus, les interfaces surchargées ou les micro-bugs d’affichage. Ce qu’ils veulent : une app qui marche, qui va droit au but, et qui ne fait pas perdre de temps.

Le process UX à suivre (et à ne jamais brûler)

Pas besoin d’un tunnel de livrables. Mais chaque étape a son importance pour éviter de dériver.

Voici le parcours qu’on suit chez Yield pour éviter les angles morts dès le début :

  • Interviews utilisateurs & personas : comprendre qui on cible, et dans quelles conditions réelles ils utiliseront l’app.
  • Jobs To Be Done : formaliser les déclencheurs d’usage, les irritants, les leviers d’adoption.
  • Wireframes & parcours clés : ne pas chercher à tout modéliser, mais verrouiller les moments critiques (onboarding, action principale, validation, etc.).
  • UI System + tests d’interfaces (Maze, Useberry…) : un design cohérent, accessible, et validé sur cible.

Ce que les utilisateurs attendent vraiment

Une app doit aller droit au but : fluide, lisible, intuitive. Le dark mode, l’accessibilité, un langage simple et direct ? C’est la base.

Chaque interaction doit donner un retour clair, immédiat. Animations douces, micro-interactions utiles, navigation sans à-coups : on ne doit jamais se demander "et maintenant ?".

L’IA ? Oui, mais bien intégrée. Pas un chatbot plaqué. Un vrai levier pour simplifier, personnaliser, anticiper.

Et si le réseau coupe ? L’usage continue. La gestion offline n’est plus un luxe.

Et côté méthode, quelques principes qui changent tout

Ces conseils sont simples, mais ils évitent 80 % des erreurs de design produit :

  • Ne commencez jamais un écran sans scénario d’usage associé.
  • Ne validez aucune interface sans au moins un retour utilisateur (même informel).
  • Ne misez pas sur le "waouh effect". Ce qui compte, c’est l’intuitivité.

👉 Le design n’est pas là pour “faire beau”. Il est là pour faire comprendre, faire agir, faire revenir.

Et dans un monde où chaque utilisateur zappe en 2 secondes, c’est ce qui fait la différence entre une app adoptée… et une app désinstallée.

Étape 4 – Le développement : rapide, propre, maintenable

Lancer le développement, ce n’est pas une simple exécution. C’est le moment où chaque choix technique a un impact direct sur la stabilité, la vélocité et la maintenabilité du produit.

Et ce qu’on construit ici, ce n’est pas “juste une app” : c’est un socle technique qui doit tenir dans le temps, absorber les évolutions, supporter la montée en charge — sans tout casser.

Une stack standardisée, testée, prête à scaler

En 2025, certaines briques sont devenues des évidences. On ne les choisit pas par effet de mode, mais parce qu’elles répondent aux contraintes les plus fréquentes : time-to-market, performance, évolutivité.

Stack mobile recommandée :

  • Front-end : Flutter ou React Native → pour une base de code unique, des performances proches du natif, et une vélocité de dev accrue.
  • Back-end : Node.js, Laravel, Supabase ou Firebase → selon les enjeux de scalabilité, de persistance des données et de logique métier.
  • API : REST si l’équipe a besoin de simplicité. GraphQL si le projet nécessite de la flexibilité et de l’optimisation côté client.
  • Fonctionnalités critiques à anticiper : authentification sécurisée, gestion offline, analytics embarqué, push notifications, gestion des paiements.

Ces choix doivent être faits dès le cadrage technique. Une stack mal posée = une dette assurée à moyen terme.

Et côté architecture : modulaire, testable, réversible

Ce n’est pas juste le code qui compte. C’est la façon dont on le structure, le versionne, le déploie.

Ce qu’on met en place pour un produit sain dès le jour 1 :

  • Architecture modulaire → chaque feature isolée, testable indépendamment, et facile à maintenir.
  • CI/CD dès le début → automatisation des tests, des builds et des déploiements pour livrer vite… et propre.
  • Feature Flags → tester une fonctionnalité en prod sans l’imposer à tout le monde. Activer/désactiver en un clic. A/B tester sans fracas.

💡 Exemple client : sur une app de suivi de maintenance terrain, on a activé une nouvelle UI de reporting uniquement pour 5 % des utilisateurs grâce aux feature flags. Résultat : itérations plus rapides, aucune régression visible, adoption mesurée.

Étape 5 – Tester avant de crasher : QA, dry-run et terrain

Le développement est terminé. L’app tourne. Mais avant de la balancer dans les stores, un réflexe : tester comme si elle était déjà en prod.

Parce que le vrai crash, ce n’est pas un bug technique. C’est une app qui freeze chez l’utilisateur, une feature qui ne sert à rien, une perf qui s’effondre dès qu’on sort du wifi.

Ce qu’on teste, et quand

Dès la première version fonctionnelle, il faut croiser deux approches : tests techniques et tests utilisateurs.

Tests fonctionnels :

  • Scénarios critiques automatisés : login, parcours principal, paiement, etc.
  • Tests snapshot pour détecter les régressions visuelles.
  • Outils à activer : Detox, Appium, Jest (ou équivalents selon la stack).

Tests utilisateurs :

  • Panels internes (équipe, partenaires, testeurs proches).
  • Early adopters externes (petit groupe cible avec feedback rapide).
  • Pré-prod via TestFlight (iOS) ou Google Play Console (Android).

Ce n’est pas “on verra à la bêta”. C’est dès la version alpha qu’on mesure : clarté des flows, friction, compréhension, valeur perçue.

Bonus expert : ne jamais lancer dans le vide

Quelques pratiques simples pour sécuriser la release — même avec une V1 imparfaite :

  • Toujours faire un dry-run : simulez un lancement réel avec l’équipe. Parcours complet, de l’installation au support.
  • Monitoring post-release : mettez en place le suivi dès le jour 1 :
    • Crash reports (Firebase Crashlytics, Sentry)
    • Suivi des erreurs et ralentissements
    • Heatmaps, funnels, logs UX

L'objectif : corriger dès que possible, avant que les premiers utilisateurs ne jugent l’app sur sa première impression.

Une app bien testée, ce n’est pas une app sans bug. C’est une app qui réagit vite, apprend vite, et évolue sans casser.

Étape 6 – Lancer, ce n’est pas juste publier

Le store, ce n’est pas une vitrine. C’est un champ de bataille. Votre app y sera noyée parmi des milliers. Sans stratégie de lancement, vous ratez l’occasion de capter l’attention là où elle est la plus précieuse : au jour 1.

Avant de cliquer sur “publish”, préparez le terrain

L’upload ne prend que quelques minutes. Mais tout ce qui se joue autour est critique.

Ce qu’il faut avoir préparé en amont :

  • Un compte développeur Apple et Google (créé, vérifié, prêt).
  • Les visuels et captures d’écran optimisés pour chaque store.
  • Une description orientée bénéfice utilisateur (pas juste la liste de fonctionnalités).
  • Des tests de titres et sous-titres (A/B test possibles avec StoreMaven ou via Google Play).

Premier objectif : apparaître, séduire, convertir. Et ça se joue dans les 30 premières secondes.

Un lancement, ça se chauffe

Si personne n’attend votre app, personne ne la verra. Les premières installations, reviews et usages influencent directement l’algorithme des stores.

Tactiques simples à activer :

  • Liste d’attente avec incentive clair (accès prioritaire, bonus, rôle de testeur…).
  • Bêta ouverte sur TestFlight ou Google Play Console, pour générer de premiers retours + reviews.
  • Campagne d’activation ciblée : newsletter, posts LinkedIn, influenceurs de niche.
  • Micro-influence > pub broad : les utilisateurs font plus confiance à un retour authentique qu’à un display surchargé.

Et surtout : attention aux reviews. Mauvais départ = crédibilité à rattraper, algorithme à reconquérir.

Retour d’XP :

“Une app RH interne devait être déployée auprès de 800 collaborateurs. Plutôt que de pousser l'app “en masse”, l’équipe a mis en place un plan de chauffe sur 10 jours :
  • teasing dans la newsletter interne,
  • accès anticipé pour un groupe pilote (TestFlight),
  • série de mini-vidéos tutos envoyées sur Slack.

Résultat : 70 % de taux d’installation en 48h, 30 avis positifs dès le jour 1, et une adoption immédiate.”

Quelques outils utiles pour ne rien rater

Un bon lancement, c’est aussi une bonne stack. Ces outils ne font pas le job à votre place, mais ils vous aident à déclencher, observer et ajuster dès les premiers jours :

  • OneSignal : push notification + activation.
  • StoreMaven : test A/B sur la fiche store.
  • AppFollow : suivi et réponse aux reviews + veille concurrentielle.

Un bon lancement ne fait pas tout. Mais un mauvais peut tout plomber. Préparez-le comme un événement produit — pas comme une formalité technique.

Étape 7 – L’après-lancement : apprendre, améliorer, construire sur le long terme

Publier une app, ce n’est pas clore un projet. C’est lancer un produit. Et un produit digital qui ne bouge pas… finit par se faire oublier.

L’enjeu, ce n’est pas seulement de corriger des bugs ou d’ajouter une feature sympa. C’est d’apprendre vite, itérer juste, et construire une base solide pour faire évoluer l’app sans repartir de zéro tous les 6 mois.

Mettre en place une boucle de feedback continue

Dès les premiers jours, il faut capter ce qui se passe sur le terrain :

  • Surveys intégrés, support in-app, interviews utilisateurs ciblées
  • Analytics comportemental : où ça clique, où ça décroche
  • Feedback qualitatif des early adopters

Objectif : comprendre ce que les utilisateurs font (ou ne font pas) — et pourquoi. Sans cette boucle, impossible de prendre de bonnes décisions produit.

Retour d’expérience

“Sur une app RH B2B récemment lancée, on observe un gros décrochage à l’étape de connexion mobile. Les analytics ne suffisent pas, mais croisé aux retours support + logs, on remonte un bug SSO spécifique à Android. Corrigé en 48h. Résultat : +35 % de rétention J1.

Avant de chercher la “feature magique”, commencez par débloquer l’usage de base. C’est souvent là que tout se joue.”

Suivre les bons KPIs produit

Pas besoin de suivre 30 métriques. Juste les bonnes :

  • Rétention J1–J7–J30 : est-ce qu’on garde les utilisateurs ?
  • Activation : atteignent-ils la valeur clé rapidement ?
  • Fréquence d’usage : l’app devient-elle un réflexe ?
  • Conversion : est-ce que ça produit un impact mesurable (achat, engagement, prise de RDV…) ?

Ces KPIs ne servent pas à décorer un dashboard. Ils guident la priorisation.

Structurer une roadmap qui tient dans le temps

On sort d’une logique “features à empiler”. On construit une roadmap produit :

  • Quick wins : les petits ajustements qui changent tout.
  • Améliorations structurantes : refonte de parcours, optimisations clés.
  • Scalabilité : ouvrir à d’autres cibles, préparer l’international, passer du B2C au B2B…

👉 Une app n’est jamais “finie”. C’est un produit vivant. Et un bon lancement n’a de valeur que si l’itération suit. Construire une app, c’est poser les fondations d’un produit qui évolue avec ses utilisateurs — pas un projet à figer.

Bonus – Combien coûte une application mobile en 2025 ?

Une bonne app, ça se chiffre. Mais ce qui coûte cher, ce n’est pas le développement en soi. C’est de mal cadrer, mal prioriser, ou de devoir tout reprendre 6 mois plus tard.

Le budget dépend de 3 facteurs :

  • La complexité fonctionnelle
  • Le nombre de plateformes (iOS, Android, web...)
  • Le niveau d’exigence UX / sécurité / scalabilité

Quelques repères réalistes

Ces budgets incluent généralement : design, développement, tests, déploiement, accompagnement au lancement. Mais pas toujours le run (maintenance, itérations, hébergement).

💡 Vous avez 50k€ ? Plutôt que de viser deux plateformes et tout faire à moitié, mieux vaut un MVP chirurgical sur une seule plateforme, mais solide, testé, et itérable. Le bon budget n’est pas le plus gros — c’est celui qui aligne ambition, valeur, et timing.

Conseils pour éviter les mauvaises surprises

  • Ne jamais acheter une app “finie” sans prévoir ce qui suit : corrections, évolutions, support. Sinon, le budget explose à la moindre demande.
  • Fuir les promesses à 10k€ sur des plateformes low-cost ou avec des freelances non spécialisés. L’économie initiale se transforme vite en dette technique.

👉 Une app qui marche vraiment, ce n’est pas celle qu’on peut payer “au plus bas”. C’est celle qui crée de la valeur sans exploser à l’usage.

Une app qui marche, c’est une app bien pensée — pas juste bien codée

Créer une application mobile en 2025, ce n’est pas “faire une app”. C’est lancer un produit digital qui doit trouver son usage, sa place, sa valeur.

Et ça ne repose pas sur une idée brillante ou une techno dernier cri, mais sur une chaîne de décisions solides :

  • Valider un vrai besoin ;
  • Cadrer une V1 utile ;
  • Choisir la bonne stack ;
  • Soigner l’expérience ;
  • Anticiper les itérations.

Chaque étape compte. Chaque oubli se paie plus tard — en bugs, en churn, en rework.

Chez Yield, on ne se contente pas de “développer une app”. On accompagne la construction d’un produit mobile qui tient la route, dès le jour 1… et surtout les suivants.

Vous avez un projet d’application ? Parlons produit, pas juste code.

Créer une application Android sur le Google Play Store
Découvrez comment créer une application sur Google Play Store. Guide complet pour publier votre application avec succès. Conseils, étapes et astuces.
Cyrille
13/5/2024

Bienvenue dans notre guide complet sur la création et la publication d'applications sur le Google Play Store. Si vous vous demandez comment donner vie à votre application Android et la partager avec le monde, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, nous allons vous expliquer étape par étape comment créer, préparer et publier votre application, en mettant l'accent sur l'optimisation pour maximiser sa visibilité.

Vous découvrirez comment créer un compte développeurs Google Play, préparer les éléments graphiques essentiels, développer votre application Android, rédiger une description convaincante, préparer des captures d'écran attrayantes, publier votre application, la tester en toute sécurité et suivre ses performances. Que vous soyez novice ou que vous ayez déjà une idée en tête, ce guide vous fournira les conseils, les astuces et les meilleures pratiques pour réussir dans l'univers du Google Play Store. Alors, prêt à plonger dans le monde passionnant de la création d'applications Android ?

Suivez-nous pour tout savoir sur la réalisation de votre projet d'application mobile.

#1 Créer un compte développeurs Google Play

La première étape cruciale pour publier une application sur le Google Play Store est de créer un compte développeurs Google Play. Suivez ces étapes pour démarrer :

  1. Rendez-vous sur la plateforme Google Play Console pour les développeurs en utilisant votre compte Google existant ou en en créant un nouveau.
  2. Pour pouvoir publier des applications sur le Google Play Store, vous devrez payer des frais d'inscription unique de $25 pour vous donner accès à la plateforme de publication à vie.
  3. Une fois inscrit, remplissez les informations de votre compte développeurs. Assurez-vous de fournir une description complète et précise de votre entreprise ou de vous-même, car cela aidera les utilisateurs à vous identifier plus facilement.
  4. Incluez une politique de confidentialité pour votre application si elle collecte des données personnelles. Google Play Store exige une politique de confidentialité claire pour toutes les applications.
  5. Choisissez une langue par défaut pour votre compte développeurs. Cela déterminera la langue dans laquelle vos communications avec Google se feront.
  6. Une fois toutes les informations fournies, terminez la configuration de votre compte développeurs Google Play. Vous êtes maintenant prêt à commencer à publier des applications sur la plateforme.

#2 Préparer les éléments graphiques

L'une des étapes cruciales pour publier une application réussie sur le Google Play Store consiste à préparer les éléments graphiques essentiels. Voici comment vous pouvez procéder :

Icône d'application

Créez une icône d'application attrayante qui représente votre application de manière mémorable. Cette icône sera la première chose que les utilisateurs verront. Assurez-vous que l'icône est claire, nette et conforme aux normes de qualité.

  1. Taille recommandée : 512 x 512 pixels
  2. Format : PNG avec un arrière-plan transparent
  3. Taille maximale du fichier : 1024 Ko

Bannières promotionnelles

Préparez des bannières promotionnelles qui mettent en avant les fonctionnalités uniques de votre application. Utilisez ces bannières pour attirer l'attention des utilisateurs potentiels. Créez des images promotionnelles qui reflètent le style de votre application.

  1. Taille recommandée : 1024 x 500 pixels
  2. Format : PNG ou JPEG
  3. Taille maximale du fichier : 1024 Ko

Vidéo de présentation

Si possible, créez une vidéo de présentation de votre application. Les vidéos peuvent donner aux utilisateurs un aperçu interactif de votre application et augmenter leur intérêt. Assurez-vous que la vidéo est informative, concise et professionnelle.

  1. Dimensions : 16:9 (paysage)
  2. Durée recommandée : 30 secondes à 2 minutes
  3. Hébergement : YouTube (ajoutez le lien YouTube dans la console Google Play)

Logo de l'éditeur

Téléchargez un logo de l'éditeur, qui représente votre entreprise ou vous-même en tant que développeur. Veillez à ce que le logo soit net et qu'il reflète l'identité de votre marque.

  1. Taille recommandée : 512 x 512 pixels
  2. Format : PNG avec un arrière-plan transparent
  3. Taille maximale du fichier : 1024 Ko

Autres éléments graphiques

Envisagez d'inclure d'autres éléments graphiques tels que des images promotionnelles, des graphiques ou des illustrations qui peuvent améliorer l'attractivité de votre page d'application.

En préparant soigneusement les éléments graphiques de votre application, vous augmentez vos chances d'attirer l'attention des utilisateurs sur le Google Play Store. Des éléments visuels bien conçus peuvent faire la différence pour inciter les utilisateurs à télécharger votre application.

Pour préparer les éléments graphiques et les captures d'écran pour votre application sur le Google Play Store, voici les tailles et déclinaisons spécifiques à respecter :

#3 Développer l'application pour Android

La création d'une application pour le Play Store commence par une étape cruciale : choisir les bons outils. React Native est une excellente option pour développer une application compatible avec Android et iOS. Voici les étapes essentielles à suivre avec React Native.

Tout d'abord, assurez-vous que votre ordinateur est équipé d'un système d'exploitation adapté au développement mobile, comme Windows, macOS, ou Linux. Installez Node.js, puis utilisez npm (Node Package Manager) pour installer l'interface de ligne de commande (CLI) de React Native.

Prenez le temps de vous familiariser avec les concepts de base de React Native, notamment le JavaScript ES6, les composants, les états, et les props, ainsi que le style des composants avec CSS ou des objets JavaScript.

Planifiez l'architecture et le design de votre application. Définissez ses fonctionnalités clés, son interface utilisateur, et sa navigation. Utilisez des outils de maquettage pour esquisser l'apparence de votre application avant de commencer à coder.

Pour coder votre application, ouvrez un terminal et créez un nouveau projet React Native en exécutant npx react-native init nom-de-votre-app. Ceci crée une structure de base pour votre application.

Intégrez les bonnes pratiques de développement pour assurer la performance et la stabilité de votre application. Testez-la régulièrement sur des simulateurs ou des appareils physiques.

Voici un exemple de code source basique qui affiche une page avec un texte de bienvenue :

Une image contenant texte, capture d’écran, PoliceDescription générée automatiquement

Pour publier votre application, générez une version de production en suivant les instructions spécifiques à React Native pour Android. Assurez-vous que votre application respecte les directives du Google Play Store concernant le contenu, la publicité, la sécurité, et la confidentialité.

Préparez une description attrayante pour le Play Store, détaillant les fonctionnalités et les bénéfices de votre application. Effectuez des tests complets pour corriger les bugs et organisez des tests fermés avec des utilisateurs bêta pour recueillir des retours.

#4 Ajouter une description complète

Lorsque vous publiez une application sur le Google Play Store, l'ajout d'une description complète est une étape cruciale pour informer les utilisateurs potentiels sur le fonctionnement et l'utilité de votre application. Voici comment vous pouvez procéder :

  • La première partie de votre description devrait être une introduction engageante qui capte l'attention des utilisateurs. Expliquez brièvement ce que fait votre application et ce qui la rend unique.
  • Décrivez ensuite les principales fonctionnalités de votre application. Mettez en évidence ce qui la distingue des autres applications similaires sur le marché.
  • Si votre application a des fonctionnalités complexes, offrez des instructions claires sur la manière de les utiliser. Les utilisateurs doivent comprendre rapidement comment tirer le meilleur parti de votre application.
  • Expliquez en quoi votre application peut améliorer la vie des utilisateurs ou résoudre leurs problèmes. Mettez en avant les avantages et les gains qu'ils peuvent obtenir en l'utilisant.
  • Si votre application a reçu des témoignages positifs ou des avis élogieux, n'hésitez pas à les inclure dans la description. Les avis d'autres utilisateurs peuvent renforcer la confiance des nouveaux utilisateurs.
  • Mentionnez les spécifications techniques pertinentes, telles que les versions minimales d'Android prises en charge et les éventuelles exigences matérielles
  • Concluez la description en invitant les utilisateurs à télécharger votre application. Utilisez un appel à l'action clair et incitatif.
  • Relisez attentivement votre description pour éviter les fautes d'orthographe et les erreurs grammaticales. Une description bien rédigée donne une impression professionnelle.
  • Si votre application cible un public mondial, envisagez de proposer des descriptions traduites dans plusieurs langues pour atteindre un public plus large.

En ajoutant une description complète et convaincante, vous maximisez vos chances de convaincre les utilisateurs potentiels de télécharger votre application depuis le Google Play Store. Une description informative et attrayante peut faire la différence dans la décision des utilisateurs de tester votre application.

#5 Préparer des captures d'écran

Préparer des captures d'écran de qualité est essentiel pour présenter votre application de manière attrayante sur le Google Play Store. Voici comment vous pouvez procéder :

Prenez des captures d'écran de haute qualité qui mettent en valeur les fonctionnalités clés de votre application. Choisissez des moments pertinents qui montrent à quoi ressemble l'utilisation de votre application. Assurez-vous que les captures d'écran sont nettes, bien cadrées et sans distorsion. Évitez les images floues ou pixellisées.

Le Google Play Store recommande des tailles spécifiques pour les captures d'écran. Assurez-vous de les respecter pour une présentation optimale sur différentes tailles d'écran d'appareils Android. Il est généralement conseillé de fournir des captures d'écran pour les formats de téléphone et de tablette.

Pour les téléphones :

  • Taille minimale : 320 pixels (largeur) x 320 pixels (hauteur)
  • Taille maximale : 3840 pixels (largeur) x 3840 pixels (hauteur)
  • Format : PNG ou JPEG
  • Nombre recommandé : 4 à 8 captures d'écran


Pour les tablettes (7 pouces) :

  • Taille minimale : 320 pixels (largeur) x 320 pixels (hauteur)
  • Taille maximale : 3840 pixels (largeur) x 3840 pixels (hauteur)
  • Format : PNG ou JPEG
  • Nombre recommandé : 4 à 8 captures d'écran


Pour les tablettes (10 pouces) :

  • Taille minimale : 320 pixels (largeur) x 320 pixels (hauteur)
  • Taille maximale : 3840 pixels (largeur) x 3840 pixels (hauteur)
  • Format : PNG ou JPEG
  • Nombre recommandé : 4 à 8 captures d'écran

Incluez une variété de captures d'écran pour donner aux utilisateurs un aperçu complet de votre application. Montrez différentes fonctionnalités, écrans d'accueil et avantages clés. Les utilisateurs doivent pouvoir visualiser l'expérience complète de votre application grâce à ces captures d'écran.

Utilisez des légendes ou des annotations pour mettre en évidence les points forts de chaque capture d'écran. Expliquez brièvement ce que les utilisateurs peuvent attendre de chaque fonctionnalité ou écran. Assurez-vous que les annotations sont lisibles et ne gênent pas la vue d'ensemble.

Avant de publier vos captures d'écran, assurez-vous qu'elles s'affichent correctement sur différents appareils Android. Vérifiez l'apparence sur des téléphones de différentes tailles et des tablettes.

Si vous apportez des modifications significatives à votre application, assurez-vous de mettre à jour également les captures d'écran pour refléter les nouvelles fonctionnalités ou les changements d'interface utilisateur.

En préparant des captures d'écran de qualité et diversifiées, vous améliorez la présentation visuelle de votre application sur le Google Play Store. Des captures d'écran attrayantes donnent aux utilisateurs un aperçu immersif de votre application et peuvent les inciter à en savoir plus et à la télécharger.

#6 Publier l’application

Une fois que vous avez préparé votre application, il est temps de la publier sur le Google Play Store pour qu'elle soit accessible aux utilisateurs du monde entier. Voici les étapes pour publier votre application avec succès :

1. Accédez au tableau de bord du développeur Google Play

Connectez-vous à votre compte Google Play Console en utilisant le compte développeur que vous avez créé précédemment.

2. Créez un nouveau projet

Si c'est votre première application, vous devrez créer un nouveau projet dans le Tableau de Bord du Développeur.

3. Commencez la publication

Cliquez sur "Créer une nouvelle application" pour commencer le processus de publication.

4. Remplissez les informations de base

Vous devrez fournir des informations de base sur votre application, telles que son nom, sa catégorie, sa description courte, et l'icône de l'application.

5. Ajoutez des détails et du contenu

Rédigez une description complète de votre application en utilisant les conseils précédents. Ajoutez également des captures d'écran de haute qualité.

6. Configurations de tarification et de distribution

Choisissez si votre application sera gratuite ou payante. Configurez les pays où elle sera disponible et choisissez les méthodes de distribution.

7. Gestion des versions

Ajoutez votre fichier APK (Android Package) pour la première version de votre application. Assurez-vous que l'APK est signé et prêt pour la publication.

8. Testez votre application

Avant de publier, il est fortement recommandé de tester votre application sur différentes configurations d'appareils pour vous assurer qu'elle fonctionne correctement.

9. Analysez et soumettez

Lorsque vous êtes sûr que votre application est prête, effectuez une dernière vérification. Assurez-vous que toutes les informations sont correctes et que votre application respecte les politiques du Google Play Store.

Cliquez sur le bouton "Soumettre à l'examen" pour envoyer votre application à Google pour examen.

10. Attendez l'examen de Google

Google examinera votre application pour s'assurer qu'elle répond à toutes les normes de qualité et de sécurité. Cela peut prendre un certain temps, alors soyez patient.

11. Publication de l'application

Une fois que Google approuve votre application, elle sera publiée sur le Google Play Store et deviendra accessible aux utilisateurs.

12. Gérez les mises à jour

Après la publication, assurez-vous de gérer correctement les mises à jour de votre application. Vous devrez peut-être télécharger de nouvelles versions avec des correctifs ou des améliorations.

La publication de votre application sur le Google Play Store est une étape importante pour la rendre disponible au public. Suivez ces étapes avec soin pour garantir une publication réussie et pour que votre application soit à la disposition des utilisateurs Android du monde entier.

La création et la publication d'une application sur le Google Play Store peuvent sembler complexes, mais avec les bonnes étapes et une préparation minutieuse, vous pouvez atteindre un public mondial et partager votre application avec des utilisateurs Android du monde entier.

Nous avons exploré chaque étape du processus, depuis la création d'un compte développeur Google Play jusqu'à la publication de votre application. Nous avons également mis en avant l'importance de tester rigoureusement votre application, de suivre ses performances et de répondre aux retours des utilisateurs.

N'oubliez pas que la qualité de votre application est essentielle. Une interface utilisateur soignée, une expérience fluide et des fonctionnalités attrayantes sont autant de facteurs qui peuvent influencer le succès de votre application.

En fin de compte, la persévérance, l'écoute des utilisateurs et l'adaptation aux évolutions du marché sont les clés du succès dans le monde des applications mobiles. Créer une application sur le Google Play Store est une aventure passionnante qui peut aboutir à une large base d'utilisateurs satisfaits.

Nous espérons que cet article vous a fourni des conseils utiles pour démarrer votre voyage de développement d'applications sur Android. Que vous choisissiez React Native, Flutter ou d'autres technos ... Bonne création d'application et bonne chance sur le Google Play Store !

FAQ

La réponse à vos questions

Pourquoi faire appel à une agence d'application mobile ?
Choisir une agence d'application mobile comme Yield Studio vous offre un partenariat stratégique où expertise technique et compréhension des utilisateurs se rencontrent pour développer des applications mobiles qui dépassent les attentes du marché. Notre méthodologie itérative en 5 étapes conduit à la création d'applications qui sont non seulement fonctionnelles et esthétiques mais qui soutiennent activement vos objectifs business. Yield Studio est recommandé dans l'annuaire d'agences de développement mobile Brends
Pourquoi votre application mobile doit avoir un impact business ?
L'approche Lean, adoptée par notre agence d'application mobile, se concentre sur la création de valeur pour l'utilisateur final tout en éliminant le superflu. Cela garantit que chaque fonctionnalité de votre application mobile contribue directement à vos objectifs de gain de productivité ou business, maximisant l'engagement des utilisateurs et le retour sur investissement.
Combien de temps pour créer une application mobile ?
Dans une agence d'application mobile agile et itérative comme Yield Studio, le développement d'une application mobile peut varier mais nous visons à livrer un prototype fonctionnel en 3 à 5 semaines, avec un produit final prêt à être lancé entre 10 et 22 semaines. Notre processus itératif garantit l'efficacité et la réactivité tout au long du cycle de développement.
Combien coûte une application mobile ?
Le coût de développement d'une application mobile par une agence spécialisée dépend des spécificités de votre projet. Chez Yield Studio, nous déterminons les coûts après avoir identifié vos besoins exacts durant la phase de compréhension utilisateur, garantissant un budget adapté et une utilisation optimale de chaque investissement. Il est néanmoins rare que nous développions une application pour moins de 30k€.
Quelles solutions de développement pour une application mobile ?
Nous utilisons une combinaison de développement natif et cross-platform, choisie en fonction de votre projet spécifique. Notre approche agile permet de développer des applications performantes pour iOS et Android, tout en restant flexibles pour les adaptations nécessaires en cours de route.
Comment rédiger un cahier des charges efficace pour son application ?
Rédiger un cahier des charges pour une application mobile nécessite une identification claire de votre problématique, la définition d'une enveloppe budgétaire réaliste et la reconnaissance des contraintes techniques et commerciales. Chez Yield Studio, nous considérons le product design sprint comme une extension du cahier des charges. Cette approche permet de délimiter rapidement les fonctionnalités essentielles et d'aligner les attentes avant de plonger dans le développement, garantissant que votre projet soit mené avec une clarté stratégique dès le départ. En tant qu'agence d'application mobile, nous utilisons le product design sprint pour affiner votre vision et établir un fondement solide pour une application mobile réussie. Ne vous lancez pas dans la rédaction d’un cahier des charges de 50 pages !

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Vous recevrez dans votre boite mail l’estimation personnalisé. Une estimation vous offre la possibilité de vous projeter dans un budget, vous permettant ainsi de planifier en toute confiance. Néanmoins, chez Yield, nous adoptons une approche agile, prêts à remettre en question et ajuster nos évaluations en fonction de l'évolution de vos besoins et des spécificités de votre projet.
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